Que l’on soit fan de Dragon Ball, Dragon Ball Z ou Dragon Ball Super, les premières images qui nous viennent à l’esprit sont les capacités criées par nos héros lors de leurs interminables combats. “Kamehameha”, “Genkidama” et même “Final Flash (rires)” sont quelques-uns des noms de ce mouvement. Autant de Saiyans criés, résonnant dans les cours d’école et continuant à susciter nos débats enflammés sur nos mangas préférés.
Mais, alors que nous sirotions notre cacao devant la télévision après l’école, nous devions admettre que les noms bizarres des nombreux personnages de l’anime nous faisaient rire. Nous ne parlons pas seulement de l’Armée du Ruban Rouge et de ses soldats au code couleur. Les blases peu imaginatifs de certains combattants, comme Draculaman 🧛♂️ ne seront pas non plus revisités.
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Non, ce que Kame Sennin a à vous dire aujourd’hui, ce sont les influences des légumes et des sous-vêtements qui ont servi à nommer les nombreux personnages de Dragon Ball. C’est difficile à croire, n’est-ce pas ? Il va falloir vous y habituer car comme le dit le dicton, “La vérité fait toujours mal quand on choisit de vivre dans le déni” C’est parti pour un Top 5 des noms les plus ridicules !
N°5 : VEGETA : Un nom aux bonnes odeurs de soupe
Savez-vous ce que sont les sophismes ? Ces argumentations qui semblent être complètement fausses malgré leur apparente rigueur ? Voyons comment Vegeta a obtenu son nom. “Légumes” est à l’origine du nom de Vegeta. Si nous sommes tous d’accord que Vegeta est le prince des Saiyans, nous pouvons conclure sans risque que les Saiyans sont… tous des légumes ! Un raisonnement complètement illogique 🤬 Mais intriguant. Comme si les super combattants de Dragon Ball étaient vraiment les composants d’une recette de grand-mère pour une excellente soupe… Oh Attendez !
En y regardant de plus près, il s’avère qu’Akira Toriyama et ses compagnons étaient, en fait, des passionnés de jardinage. Si l’on change la définition de ” Saiyan ” en ” potager ” (au Japon) ! C’est une évidence. De nombreux personnages portent des noms de produits alimentaires. Prenons l’exemple de Goku. Son véritable nom de Saiyan est Kakarot 🥕 On peut aussi dire ” Cacarotte “, puisque son pseudonyme est directement dérivé du repas préféré de Bugs Bunny.
Qu’en est-il de Broly, qui sera la pièce maîtresse du prochain film de Toei Animation (si cela vous intéresse, Awesome Turtle vous propose une critique complète du film DBS Broly) ? Quelqu’un pourrait-il l’informer que son nom japonais “Burori” signifie “brocoli” ? Nous n’avons jamais eu l’intention de démystifier la légende ; nous voulons simplement reconnaître que son idée préconçue de l’énorme méchant (alias le Super Saiyan légendaire) vient de prendre un coup significatif.
N°4 : BIBIDI, BABIDI et BUU : Quand Walt Disney s’en mêle
Qui l’aurait deviné ? Cendrillon a été l’inspiration de Dragon Ball, selon son créateur. Mais oui, vous la connaissez ; c’est la folle qui transforme une citrouille en carrosse en chantant l’incantation magique “Bibbidi-Bobbidi-Boo” C’est grâce à l’utilisation de la même baguette magique que Bibidi, Babidi et Buu sont sortis du chapeau de l’écrivain japonais. Pensez à la colère que vos ennemis vont ressentir rien qu’en entendant le nom de vos adversaires…
Par conséquent, il n’est pas surprenant que les scénaristes de DB et Dragon Ball aient inclus des incantations de pouvoir dans de nombreux combats. Mais s’ils aiment tant ce genre d’approche, ce n’est pas seulement à cause de Walt Disney. Yakon dérive de “Tekumaku Mayakon”, que l’on peut entendre dans la série animée japonaise Himitsu no Akko-chan. Il s’agit d’une série dans laquelle une jeune fille de dix ans prend le contrôle de divers objets en criant l’ordonnance “Petite poudrière, petite poudrière, transforme-moi” Cette incantation, bien que dévastatrice, peut aussi servir à vous sauver en parant un Genkidama.
N°3 : DE PICCOLO à CARGO : Orientons nous vers Namek
Namek a des apparitions récurrentes dans le récit de Dragon Ball Z. Piccolo, le meilleur représentant de la planète, fait partie du groupe de Goku et constitue un élément important de leur histoire. Ce sont les noms donnés à lui et à ses congénères qui nous intéressent aujourd’hui, d’abord méchant puis gentil.
Piccolo est une petite flûte italienne, en plus d’être le personnage préféré d’Akira Toriyama. Il n’a rien à envier à la flûte lorsqu’il s’agit d’instruments qui n’impressionnent incontestablement pas. Cependant, le personnage de Piccolo ne supporte pas l’altitude ou les sifflements ne sont qu’à deux pas de l’ironie. De là, il n’y a qu’un pas à franchir pour affirmer que le créateur de Dragon Ball, Masaaki Yamamoto, et Ma Junior entretiennent une relation d’amour vache.
En nommant les habitants de la planète Namek, un pas a été franchi avec bonheur. Piccolo est obligé d’affronter une ribambelle de mollusques s’il est entouré de “Tambourin”, “Piano” et “Cymbale” Cela ne veut pas dire que Katas, Moori, Cargo ou Nail ont la tête molle, c’est juste le cas. Pendant ce temps, Lord Slug peut prétendre être le “Seigneur des Slugs 🐌”, ce qui est un sacré exploit !
N°2: BEERUS : Le gars qui sauve la soirée
On se souvient souvent des Dieux de la Destruction, des êtres divins aux antipodes des Kaio-Shins. Pourtant, la phrase est bien connue : les opposés s’attirent, et ces deux êtres sont effectivement liés puisque dans Dragon Ball Super, si l’un mourait, son homologue mourait aussi. Un autre point clé pour saisir le récit est que tous les Dieux de la Destruction sont connus par les boissons alcoolisées.
Le premier que nous avons vu à l’écran est Beerus, qui est connu pour avoir sauvé toute son espèce en assassinant Zamasu. Mais Beerus est aussi un dérivé du mot anglais “beer”, qui signifie simplement bière. Y a-t-il une chance que cet anti-héros sauve tout le monde et soit nommé d’après une boisson alcoolisée ? Nous n’avons plus besoin de faire comprendre que nous avons un copain infâme qui vient à une fête pour remplir ses réserves (qui commençaient clairement à s’épuiser) et nous noyer dans des litres d’alcool !
N°1 : BULMA : C’est la fête du slip !
Le dernier mais pas le moindre, le plus beau ! Le plus grand à la fin ! La famille de Bulma, qui est connue pour ses petits caleçons. Vu le nom de famille scientifique de cette lignée de scientifiques farfelus, ils ne gardent pas que leur blouse blanche si vous voulez notre avis. Après tout, les parents de Bulma ne sont autres que les Briefs, un terme anglais noble signifiant… un slip. La fin du refrain est marquée par une rime vibrante et des jeux de mots astucieux : “Le nom d’une dame était Panchy, un jeu de mots très finement placé par rapport à “Panties”” (M. et Mme Slip). Quant à Bulma, la logique est maintenue puisque la fille de M. et Mme Slip a un nom dérivé des mini-shorts de gym utilisés par les filles au Japon.
Lorsque vous autorisez des limites, elles deviennent réelles. On peut donc se demander ce qui est passé par la tête d’Akira Toriyama lorsqu’il a créé le personnage de Mister Popo pour rester dans la catégorie “fesses et sous-vêtements”. Le protagoniste semble avoir une explication raisonnable : “Je l’ai appelé comme ça parce que ça faisait du bien.”
Voilà qui conclut notre liste des titres les plus abracadabrants de l’univers Dragon Ball. Il y en a beaucoup d’autres (voir l’image ci-dessous 👀) que vous aurez envie d’arrêter et de regarder, et nous vous promettons encore plus de fous rires si vous lisez leurs noms.
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